MACARONS À LA NOISETTE - Recette du XIVème siècle

38.92 

Poids net : 160 gr / u 

Une recette du XIVe siècle

L’un des tout premier macaron dont la base est du sucre de canne et de la noisette torréfiée.

Gâteaux fondants au goût prononcé de noisettes.

Les macarons ont été créés dans les pays arabes lorsque les Européens ont commencé à naviguer loin de leurs terres. Au moyen-âge le “macaron” désignait deux produits différents, un biscuit mais aussi un potage.
On le nomme également “Le nombril du moine”. En 791, dans un monastère italien, un moine se serait endormi sur la pâte qu’il confectionnait et lui aurait donné cette forme ronde.

Tous nos biscuits sont fabriqués de façon artisanale, avec des matières premières bio, sans additif et sans conservateur.

Biscuits SANS gluten.

Nous fabriquons votre commande à la demande !

Dimensions

Poids net

1kg120

Capacité

1kg120

Epicerie DMD

6 mois

Vendu par 7 boîtes

Prix HT : 5.56€ la boîte soit 38.92€ les 7 boîtes

DLUO : de 6 à 7 mois

Prix de revente moyen de nos distributeurs : … TTC

Ingrédients : Noisettes* (50 %), sucre de canne*, œufs*.
Présence éventuelle de traces de blé, d’arachide, de soja, de sésame et de fruits à coque autre que la noisette.
* issus de l’agriculture biologique UE/NON UE

Le nombril du moine

Les macarons ont été créés dans les pays arabes lorsque les Européens ont commencé à naviguer loin de leurs terres.

Au Moyen Âge, le « macaron » désignait deux produits différents : le gâteau, mais aussi un potage avec des éléments en farine qu’on mangeait avec du fromage râpé, de la cannelle et du safran et que l’on a appelé « macaroni » à partir du XVIIe siècle.

Le macaron est apparu en Europe au Moyen-Âge, en premier lieu en Italie, sous le nom de maccherone. Catherine de Médicis l’aurait fait servir aux noces du Duc Anne de Joyeuse, en Ardèche, en 1581. Il est apparu à Saint-Jean-de-Luz en 1660, où un pâtissier en a offert au roi Louis XIV pour son mariage. A Paris, ce sont des officiers de bouche du nom de Dalloyau qui servaient les macarons aux Rois dès 1682.

Après l’apparition de cette pâtisserie en France, beaucoup de régions ont repris et adapté la recette. C’est cette émulation qui rend l’origine des macarons passionnante. On dénombre, aujourd’hui, plus de 40 macarons régionaux.

Par exemple, le macaron de Lorraine a été inventé au XVIIIe siècle sous l’égide des Dames du Saint-Sacrement. Il y a aussi le macaron de Boulay dont la recette remonte à 1854. Des macarons aux recettes régionales sont ensuite vendus à Montmorillon ou en Ardèche avec le Joyeux Ardèche. À Paris, ce n’est qu’en 1830 que les pâtissiers parisiens ont décidé de les assembler deux par deux en les garnissant d’une petite confiture appelée « ganache ». Puis, le magasin Ladurée, l’un des plus connus, l’a popularisé en le nommant « Le Macaron Parisien ».

Petit gâteau à base d’amande, de sucre et de blanc d’œuf, il est croquant à l’extérieur, et moelleux à l’intérieur. A l’origine, le macaron n’était qu’un simple biscuit. Il n’a été enrichi de confitures, épices et liqueurs, puis accolé deux à deux que dans les années 1830. Au début du XX° siècle, le « macaron parisien » voit le jour : le pâtissier Ladurée imagine un macaron plus sucré et plus parfumé, enrichi de confiture ou de crème au beurre, et coloré. Cette nouvelle recette est encore aujourd’hui un phénomène mondial.

Pourquoi ont-ils cette forme ?

On le nomme également “Le nombril du moine”. En 791, dans un monastère italien, un moine se serait endormi sur la pâte qu’il confectionnait et lui aurait donné cette forme ronde.

Le succès du macaron est tel qu’il s’est popularisé en dehors de la France :

En Suisse, le macaron existe sous le nom de Luxemburgerli. Ils sont fabriqués par la Confiserie Sprüngli à Zurich, en Suisse. Un Luxemburgerli est composé de deux tranches de meringue d’amandes qui sont farcies à la crème au beurre13. Les Luxemburgerli sont généralement plus petits que les macarons français.

Au Japon, les macarons sont connus sous l’appellation de makaron (en japonais : マカロン). Le makaron est présent dans la mode japonaise par le biais d’accessoires de téléphone portable, d’autocollants et de cosmétiques destinés aux femmes14.

En Corée du Sud, ils sont appelés makarong (en coréen : 마카롱). De la poudre de thé vert ou des feuilles de thé vert peuvent être utilisées pour faire des macarons au thé vert15 (source wikipédia).

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