38.92 €
Poids net : 160 gr / u
Ce massepain est sans blanc d’œuf et cuit. Biscuits vegan.
Le Marzapane ou encore Marchepain, serait apparu au VIIIe siècle en Orient, où il était la confiserie du harem puis introduit en Europe au XIIIe siècle par les Perses. Les croisés Vénitiens en auraient percé le secret. En Italie, l’une des légendes raconte que la fille d’un boulanger, très amoureuse et rêveuse, devant aider son père, fit une erreur de dosage des amandes.
Tous nos biscuits sont fabriqués de façon artisanale, avec des matières premières bio, sans additif et sans conservateur.
Nous fabriquons votre commande à la demande !
Dimensions
….
Poids net
1kg120
Capacité
1kg120
Epicerie DMD
6 mois
Vendu par 7 boîtes
Prix HT : 5.56€ la boîte soit 38.92€ les 7 boîtes
DLUO : de 6 à 7 mois
Prix de revente moyen de nos distributeurs : … TTC
Ingrédients : Amandes*, sucre de canne*, eau de rose*.
Présence éventuelle de traces de blé, d’arachide, de soja, de sésame et de fruits à coque autre que l’amande.
* issus de l’agriculture biologique UE/NON UE
Le Marzapane ou encore Marchepain, serait apparu au VIIIe siècle en Orient, où il était la confiserie du harem puis introduit en Europe au XIIIe siècle par les Perses. a supprimer Les croisés Vénitiens en auraient percé le secret.
La première veut que la pâte d’amande soit originaire du nord de la Méditerranée. On trouvait, en Italie, un pain d’épice accompagné d’une garniture en pâte d’amande dans un magasin de San Gimignano.
Bien que l’on pense que son origine se trouve en Perse (actuelle Iran) et qu’elle ait été introduite en Europe par les Turques, les Hongrois et les Italiens s’en disputent la paternité. Elle serait apparue au VIIIe siècle en Orient, où elle était la confiserie du harem. Le nom Marzapane viendrait du nom de la pièce de monnaie Mauthaban qui avait cours dans la ville de Byzance.
Elle aurait été introduite en Europe au XIIIe siècle par les Perses, et les croisés vénitiens en auraient percé le secret.
En Italie, la légende raconte que, au Moyen-âge, la fille d’un boulanger vénitien devait aider son père à mélanger un peu d’amandes hachées dans un grand gâteau. Mais la jeune fille, amoureuse, était occupée à rêver, si bien qu’elle mit trop d’amandes. Son père était furieux quand il découvrit l’erreur et lui reprocha d’avoir gaspillé ses précieuses amandes. Mais alors qu’il parlait, un morceau de la pâte entra dans sa bouche et il devint subitement silencieux. Il n’avait tout simplement jamais mangé quelque chose d’aussi délicieux. La pâte crue fut découpée en petits morceaux et vendue avec un grand succès, et le boulanger devint un homme prospère, simplement en vendant du pain de pâte d’amande. Il l’appelle Pain Marcus, du nom du saint patron de la ville, Saint Marc, qui devint marcipani en latin.
La deuxième version veut que vers 1400 Mary, la jeune fille du confiseur vénitien Badrutt Mark jouait dans l’atelier de son père et renversa accidentellement du miel dans la masse d’amande qui finit sur une plaque de cuisson chaude. Lorsque ce dernier goûta la préparation, il s’exclama « voici une confiserie inventée par Mary ! ». Il moula la pâte en bougie sacrées ornées de décorations vénitiennes, selon la tendance de l’époque, et commença à les vendre. Lors des épidémies de pestes, du pain en forme de pâte d’amande fut distribué aux gens. Au départ, la pâte était faite avec du miel, puis avec du sucre.
Le massepain est ensuite devenu une spécialité en Allemagne, dans la région de la Mer Baltique, et notamment dans la ville de Lübeck.
En Allemagne, la croyance veut qu’un chef allemand fut le premier à produire du massepain. Le chef, qui travaillait pour un homme riche au XVIIe siècle, devait fournir un délicieux dessert pour une fête très spéciale. Le chef était un gentilhomme plein d’imagination. Il fit hacher et blanchir une grande quantité d’amandes, puis il y ajouta du sucre pour créer une pâte. Elle fut ensuite coupée en petits morceaux et présentée à la fête, au cours de laquelle elle eu beaucoup de succès. Le chef baptisa la pâte de son nom, Franz Marcip, et à la fin de sa vie, il retourna dans sa ville natale de Lübeck et ouvrit une usine de massepain.
Mais voici ce qui s’est réellement passé. En 1407, une terrible famine s’était abattue sur les villes allemandes et décimait les habitants. La situation était encore plus terrible à Lübeck, car la ville était assiégée par les troupes ennemies. Pour parer à la situation, le conseil municipal ordonna de fouiller les entrepôts du port, et c’est ainsi que l’on découvrit une grande quantité de miel et d’amande dans un entrepôt abandonné. Tout d’abord délaissés, un boulanger eut l’idée de confectionner un pain délicieux avec le miel et l’amande, ce fut une réussite et la ville fut sauvée de la famine grâce à la pâte d’amande et les habitants furent revigorés, ce qui permet de mettre l’ennemi en fuite. C’est ainsi qu’est né le massepain de Lübeck
Mais sa vraie « carrière » commença au XVIIIe siècle, lorsque le boulanger Johann Niederegger commença à vendre un pain aux amandes, ainsi qu’un rival de la ville de Königsberger qui fit très vite son apparition. La différence entre les deux est que le massepain de Königsberger est fait avec du sirop de sucre et accompagné de fruits confits. Depuis, cette ville de Prusse-Orientale est réputée pour sa production de massepain et aujourd’hui encore, le terme de Königsberger Marzipan fait référence à un type particulier de pâte d’amande en Allemagne. Tandis que l’on trouve toujours à Lübeck son usine Lübecker Marzipan, qui possède une renommée mondiale.
La deuxième origine géographique serait l’Espagne. A Tolède (probablement vers 1150 sous le règne d’Alphonse VII), cette spécialité était connue sous le nom de Postre Regio. Le Mazapán est le dessert le plus célèbre de Tolède, il est généralement créé pour les fêtes de Noël. Il doit contenir au moins 50% du poids total en amandes.
Il est également fait mention dans Les Milles et Une Nuits d’une pâte d’amande que l’on consommait pendant le Ramadan et qui faisait aussi office d’aphrodisiaque.
Certains chercheurs pensent que le massepain doit son nom au terme mawthaban, expression arabe (« Seigneur assis ») désignant la pièce byzantine qui représentait Jésus assis sur son trône (source : cerf Dellier).
L’histoire de la rose remonte à la nuit des temps. Reine du jardin à juste titre !
De nombreux écrits de l’antiquité démontrent que déjà la reine des fleurs était appréciée des Egyptiens, des Grecs et des Romains. A l’époque, seule une variété blanche était cultivée principalement pour ses vertus médicinales.
Au XIIe et XIIIe siècles, alors que les croisades embrasaient les coeurs et les passions, les voyageurs armés ramenèrent du Proche Orient de nouvelles variétés de rose dont la mythique rose de Damas qui dès le XIIIe siècle fit la fortune de Provins. Cette rose était plantée originellement sur l’Ile de Samos en l’honneur de la déesse Aphrodite. Plus tard, elle fut honorée à Rome avec la déesse de l’amour, Venus. C’est à cette époque que la culture du rosier en France débuta réellement avec gallica officinalis (Rose des Apotyhicaires). Cette variété ramenée de Terre Sainte sera d’abord cultiver pour ses vertus médicinales avant d’être appréciée pour sa beauté au jardin. C’est à partir de cette variété que l’on fabriquait l’essence de rose au Moyen Age (source : aujardin.info).
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